mardi 29 mai 2012

LES ELECTIONS PRESIDENTIELLES

Le président sortant Nicolas SARKOZY a été un président clivant, opposant des catégories de la population française entre elles. Ce n'est pas le rôle d'un président qui se doit d'être fédérateur et de promouvoir la paix sociale entre ses concitoyens.

D'un autre côté, François HOLLANDE est un président qui appauvrira la France, non pas tant parce qu'il rajoutera de la dépense au déficit engagé par les présidents précédents, de gauche comme de droite, que parce que sa haine des riches débute à... 4 000 euros / mois. Mesdames et Messieurs les Français restons pauvres pour rester sympathiques !

Aussi n'ai-je pas compris que François BAYROU se prononce personnellement pour François HOLLANDE, entraînant dans son sillage le parti du MoDem.

Ceci est la position courageuse d'un homme qui ne fuit pas ses responsabilités.
Néanmoins, ce vote par défaut ne correspond pas à mon vote.

Ayant dénoncé les excès de Nicolas Sarkozy comme les promesses démagogiques de François Hollande, il eut été préférable qu'il ne se prononce pour aucun des deux candidats.
Sa position eut été plus claire pour bien des Français qui l'auraient comprise.





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